Pour le retrait, on continue ! L’intersyndicale 37  appelle aux actions tous les jours jusqu’au mardi 23 mars.

Vendredi 17 mars 2023 à 15h30, gare routière à Tours (devant la gare de Tours)
Samedi 18 mars 2023 à 10h00 au rond-point du Leclerc à Chinon, jusqu’à l’hôpital
Samedi 18 mars 2023 à 14h00, Petite Madelaine à Chambray les Tours
Dimanche 19 mars 2023 à 10h00, place du marché aux fleurs à Loches
Lundi 20 mars 2023 à 6h30, rond-point Stade Albaladejo à Joué les Tours
Mardi 21 mars 2023 à 9h00, Stockage gaz à Céré la Ronde
Mercredi 22 mars 2023, repas festif à partir de 12h00, au moins jusqu’à 17h00 sur le
parvis de la gare de Tours

Jeudi 23 mars 2023, manifestation à 10h00, Place de la Liberté à Tours.

Prise de parole FSU37 – 16 mars 2023.

Des millions de salarié·es jeunes, retraité·es, « prennent la rue depuis le 19 janvier» et se sont mis en grève contre ce projet de loi de réforme des retraites, injuste, inutile toujours inacceptable.
Ils ont manifesté pour exprimer notamment qu’exercer leur métier à 64, 65, 66 ou 67 ans ne sera tout simplement pas possible et que prétendre les y contraindre revient
à ne pas entendre la réalité de leurs conditions de travail,
à vouloir les user jusqu’à ce que mort s’ensuive.
Les jeunes refusent la précarité grandissante que promet le gouvernement.
Les retraité·es refusent d’être considéré·es comme une charge.

70% de la population et 94% des travailleurs et travailleuses sont opposés à ce projet.

La réponse du pouvoir, balayant cela d’un revers de main, est ressentie depuis deux mois comme une marque de profond mépris pour le monde du travail.

Depuis le 19 janvier, le gouvernement et Macron tournent le dos à la démocratie sociale, tournent le dos aux organisations syndicales.

Maintenant, en refusant le vote des parlementaires, ils passent encore en force
et c’est une nouvelle atteinte à la démocratie.
Aujourd’hui, ils portent LA responsabilité de la perte de confiance dans les institutions et des colères !
LEUR responsabilité aujourd’hui, est de maintenir la cohésion sociale : UNE CONDITION c’est de cesser de mépriser et d’entendre enfin l’expression de la population.
LA CONDITION, c’est de retirer ce projet de loi.